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Les voyages d'Anaxandre
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4 octobre 2014

Piochées sur des cartes postales...

"Le désordre des êtres est dans l'ordre des choses."

Jacques Prévert (1900-1977)

 

"Ils ne savaient pas que c'était impossible,

Alors ils l'ont fait."

Mark Twain (1835-1910)

 

"La vraie richesse consiste à se satisfaire de peu."

Fra Angelico (1400-1455)

 

"Il ne faut compter que sur soi-même.

Et encore,

Pas beaucoup."

Tristan Bernard (1866-1947)

 

"L'amour est la seule passion qui se paye d'une monnaie qu'elle fabrique elle-même."

Stendhal (1783-1842)

 

"Chaque coup de colère est un coup de vieux,

Chaque sourire est un coup de jeune."

Proverbe Chinois

 

"Donne un cheval à celui qui dit la vérité...

Il en aura besoin pour s'enfuir."

Proverbe Afghan

 

ZZZ-SIGNATURE

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27 septembre 2014

Piochées sur des cartes postales...

"Le bonheur,

C'est de continuer à désirer ce qu'on possède."

Saint Augustin (354-430)

 

"Les erreurs sont la porte de la découverte."

James Joyce (1882-1941)

 

"J'ai décidé d'être heureux parce que c'est bon pour la santé."

Voltaire (1694-1778)

 

"Parler est un besoin,

Ecouter est un art."

Goethe (1749-1832)

 

"Faites des bêtises,

Mais faites-les avec enthousiasme."

Colette (1873-1954)

 

ZZZ-SIGNATURE

20 septembre 2014

Piochées sur des cartes postales...

"L'éponge absorbe,

Mais il faut la presser pour qu'elle s'exprime."

Proverbe Allemand

 

"Les gens qui ne rient jamais ne sont pas des gens sérieux."

Alphonse Allais (1854-1905)

 

"Si la vie avait une seconde édition,

Ah!

Comme je corrigerais les épreuves!"

Oscar Wilde (1854-1900)

 

"Franchement,

Je suis capable du meilleur comme du pire,

Mais dans le pire,

C'est moi le meilleur!"

Coluche (1944-1986)

 

"La vieillesse,

C'est quand on commence à dire:

Jamais je ne me suis senti aussi jeune."

Jules Renard (1864-1920)

 

ZZZ-SIGNATURE

13 septembre 2014

Piochées sur des cartes postales...

"Bien qu'éloignés, les amis restent proches du coeur."

Wang Bo (650-676)

 

"J'adore parler de rien.  C'est le seul domaine où j'ai de vagues connaissances."

Oscar Wilde (1856-1900)

 

"Celui qui parle sème,

Celui qui écoute récolte."

Proverbe Persan

 

"Il faudrait essayer d'être heureux,

Ne serait-ce que pour donner l'exemple."

Jacques Prévert (1900-1977)

 

"Etre avec des gens qu'on aime,

Cela suffit."

Jean de La Bruyère (1645-1696)

 

ZZZ-SIGNATURE

6 septembre 2014

Piochées sur des cartes postales...

"L'optimiste regarde la rose et ne voit pas les épines.

Le pessimiste regarde les épines et ne voit pas la rose."

Proverbe Arabe

 

"La vraie richesse consiste à se satisfaire de peu."

Fra Angelico (1400-1455)

 

"Qui donne ne doit jamais s'en souvenir.

Qui reçoit ne doit jamais oublier."

Proverbe hébreu

 

"Quand maman est fatiguée, pourquoi c'est moi qui doit aller se coucher?"

Parole d'enfant

 

"La franchise ne consiste pas à dire ce qu'on pense mais à penser ce qu'on dit."

Coluche (1944-1986)

 

ZZZ-SIGNATURE

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30 août 2014

Prière

Mon Dieu,

Donnez-moi la force de changer ce qui peut être changé,

Le courage d'accepter ce qui ne peut l'être

Et la sagesse de savoir où commence l'un et où finit l'autre.

ZZZ-SIGNATURE

23 août 2014

Florilège de Mère Teresa de Calcutta

L'homme est insensé, illogique, égocentrique:

Cela n'a pas d'importance, aime-le!

Si tu fais le bien, on t'attribuera des intentions égoïstes:

Cela n'a pas d'importance, fais-le bien!

Si tu réalises tes objectifs, tu trouveras de faux amis et de vrais ennemis:

Cela n'a pas d'importance, réalise-les!

Le bien que tu fais sera oublié dès demain:

Cela n'a pas d'importance, fais-le bien!

L'honnêteté et la sainteté te rendent vulnérables:

Cela n'a pas d'importance, sois loyal et honnête!

Ce que tu as mis des années à construire peut être détruit en un instant:

Cela n'a pas d'importance, constuis-le!

Si tu aides les gens, ils seront fâchés contre toi:

Cela n'a pas d'importance, aide-les!

Donne au monde le meilleur de toi-même et il te maltraitera:

Cela n'a pas d'importance, donne le meilleur de toi-même!

ZZZ-SIGNATURE

16 août 2014

L'hôpital

Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital.  L'un d'eux devait s'asseoir dans sont lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons.  Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre.  L'autre devait passer ses journées couché sur le dos.

Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures.  Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances.  Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

Dans la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux modèles réduits.  Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.

Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autres côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par là.  Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait voir avec les yeux de son imagination tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.

Les jours et les semaines passèrent.

Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil.

Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.

Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. 

L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort puis le laissa seul.

Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors.

Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit.  Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.

Or, tout ce qu'il vit fut un mur!

L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.

L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.

Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle.

ZZZ-SIGNATURE

9 août 2014

Le dernier rendez-vous

Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,

Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs,

Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille,

Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants.

 

Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête,

Nous nous croirons encore de jeunes amoureux,

Et je te sourirai tout en branlant la tête,

Et nous ferons un couple adorable de vieux.

 

Nous nous regarderons, assis sous notre treille,

Avec de petits yeux attendris et brillants,

Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,

Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs.

 

Sur le banc familier, tout verdâtre de mousse,

Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer,

Nous aurons une joie attendrie et très douce,

La phrase finissant souvent par un baiser.

 

Combien de fois jadis j'ai pu dire "Je t'aime!"

Alors, avec grand soin, nous le recompterons.

Nous nous ressouviendrons de mille choses, même

De petits riens exquis dont nous radoterons.

 

Un rayon descendra, d'une carersse douce,

Parmi nos cheveux blancs, tout rose, se poser

Quand sur notre vieux banc tout verdâtre de mousse,

Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer.

 

Et, comme chaque jour je t'aime davantage,

Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain

Qu'importeront alors les rides du visage,

Si les mêmes rosiers parfument le chemin?

 

Songe à tous les printemps qui dans nos coeurs s'entassent.

Mes souvenirs à moi seront aussi les tiens.

Ces communs souvenirs toujours plus nous enlacent

Et sans cesse entre nous tissent d'autres liens.

 

C'est vrai, nous seront vieux, très vieux, faiblis par l'âge,

Mais plus fort chaque jour je serrerai ta main,

Car, vois-tu, chaque jour je t'aime davantage

Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain!

 

En ce cher amour qui passe comme un rêve

Je veux tout cnserver dans le fond de mon coeur,

Retenir, s'il le peut, l'impression trop brève,

Pour le ressavourer plus tard avec lenteur.

 

J'enfouis tout ce qui vient de lui comme un avare

Thésaurisant avec ardeur pour mes vieux jours.

Je serai riche alors d'une richesse rare,

J'aurai gardé tout l'or de mes jeunes amours

 

Ainsi de ce passé de bonheur qui s'achève

Mamémoire parfois me rendra la douceur

Car de ce cher amour qui passe comme un rêve

J'aurai tout conservé dans le fond de mon coeur.

 

Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,

Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs,

Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille,

Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants.

 

Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête,

Nous nous croirons encoe aux jours heureux d'antan,

Et je te sourirai tout en branlant la tête,

Et tu me parleras d'amour en chevrotant.

 

Nous regarderons, assis sous notre treille,

Avec des yeux remplis des pleurs de nos vingt ans...

Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,

Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs!

 

Rosemonde Gérard

ZZZ-SIGNATURE

2 août 2014

Le bonheur est tout petit

Le bonheur est tout petit.  Si petit que, parfois, on ne le voit pas.

Alors on le cherche partout, on le cherche partout...

Il est là, dans l'arbre qui chante dans le vent.

L'oiseau le crie dans le ciel.

La rivière murmure.

Le ruisseau le chuchote.

Le soleil, la goutte de pluie le disent.

Tu peux le voir, là, dans le regard de l'enfant,

Le pain que l'on partage, la main que l'on tend.

Le bonheur, c'est tout petit, si petit que parfois on ne le voit pas

Et on le cherche dans le béton, l'acier ou la fortune.

Mais le bonheur n'y est pas, ni dans l'aisance, ni dans le confort.

On veut se le construire mais il est là, à côté de nous

et on passe sans le voir.  Car le bonheur est tout petit.

Il ne se cache pas.  C'est là son secret!

Il est là, près de nous, et parfois en nous.

ZZZ-SIGNATURE

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