Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Les voyages d'Anaxandre
Les voyages d'Anaxandre
Publicité
Newsletter
Archives
27 mars 2012

La famille et son âne

Il était une fois un couple avec un fils de douze ans et un âne.  Ils ont décidé de travailler, voyager et de voir le monde.

Ainsi, ils partirent tous les trois avec leur âne.

En passant par le premier village, les gens disaient : «Regardez ce jeune mal-élevé sur le dos de l’âne!  Et les pauvres parents âgés, ils tirent les rênes! "

Alors la femme dit à son mari : "Ne laissons pas les gens dire du mal de notre enfant."

Le mari le descendit et monta sur l’âne.

A l’arrivée au deuxième village, les gens murmuraient : "Regardez comment ce misérable laisse le gamin et la pauvre femme tirer l'âne alors qu'il est installé bien confortablement dessus "

Alors ils décidèrent de transférer la femme sur l'âne alors que le père et le fils tirent sur ses rênes.

En passant par le troisième village, les gens disaient: “Pauvre homme.  Après avoir travaillé toute la journée, il doit, en plus, transporter sa femme sur son âne! . . .  Et le pauvre enfant!  À quoi s'attendre avec une telle mère! "

Ils se mirent d’accord et décidèrent de monter tous les trois sur l'âne avant de reprendre leur voyage.

En atteignant le village suivant, ils entendirent les villageois dire : “Ils sont bêtes, plus bêtes que l'âne qu’ils conduisent!  Ils vont lui briser la colonne vertébrale!"

Enfin, les trois décidèrent de descendre et de marcher à côté de l'âne.

Mais en passant par la ville suivante, ils ne pouvaient pas croire ce que les gens disaient d’eux en souriant: «Regardez ces trois idiots: à pied quand ils ont un âne qui pourrait les transporter!"

Conclusion ...

Toujours ils te critiqueront, et diront du mal de toi... il te sera difficile de trouver quelqu'un qui se satisfasse de ton attitude, quoi que tu fasses...

Alors :

Vis comme tu le penses!

Fais ce que te dicte ton coeur!

Fais ce que tu ressents!

Une vie est une pièce de théâtre qui ne permet pas les répétitions.

Pour cela :

Chante, rís, danse, aime . . .  et vis intensément  chaque instant de ta vie avant que le rideau ne tombe et que l’œuvre ne se termine sans applaudissement!

QUE TA VIE SOIT HEUREUSE !!!!

Publicité
Publicité
20 mars 2012

Les mains de maman

Les mains de maman

Ma mère, plus de 90 ans, était assise sur le bord de son lit. Elle ne bougeait pas, seulement assise, la tête vers le bas, fixant ses mains. Quand je me suis assise près d'elle, aucune réaction... Je ne voulais pas la déranger mais après un long moment de silence, je me suis informée si elle était bien.

Elle leva la tête et me sourit. « Oui, je suis bien, merci de t'en informer. » dit-elle de sa voix douce et claire.

« Je ne voulais pas te déranger, maman, mais tu étais assise là, fixant tes mains. A quoi pensais-tu ? »

« As-tu déjà regardé tes mains ? » me dit-elle. « Je veux dire, as-tu VRAIMENT regardé tes mains ? »

J'ai alors lentement ouvert mes mains et les ai fixées, les ai retournées, m'en suis frottées les paumes. « Non, je pense que je n'ai pas vraiment regardé mes mains » lui dis-je, en me demandant ce qu'elle voulait VRAIMENT dire.

« Mes mains, maintenant ridées, désséchées et affaiblies, ont été les outils toujours utilisés pour étreindre la vie. Enfant, elles m'ont permis de m'agripper et d'éviter de tomber quand, d'abord, je trottinais puis courais, sautais, jouais... Elles ont été de ficèles compagnes dans mes apprentissages : pour attacher mes souliers, me coiffer, me laver et tant d'autres choses... à faire toute seule, comme une grande !

Elles ont été belles, douces et soignées mais aussi collantes et humides, sèches et abîmées. Elles ont été habiles et efficaces, souvent chaleureuses et réconfortantes mais aussi parfois froides et maladroites dans certaines circonstances...

Elles ont été la preuve de mon amour, de ma tendresse... Décorées avec mon alliance, elles ont montré au monde que j'aimais quelqu'un. Elles ont écrit mes lettres à ton père et ont tremblé pour lui. Elles vous ont caressé, éduqué, vous, mes enfants... Elles ont accueilli ensuite mes petits-enfants...

Elles ont accompagné tant de sourires mais aussi essuyé tant de larmes ! Elles ont consolé et réconforté mais aussi tremblé de rage quand je ne comprenais pas. Elles ont témoigné mon affection, mon amitié... Elles ont participé à toutes mes rencontres : tous ces gens que j'ai croisés tout au long de ma vie...

Aujourd'hui, alors que rien ne marche vraiment plus comme avant pour moi, ces mains continuent de me soutenir : elles couvrent mon visage quand je pense au passé... Et je les joins encore quand je réfléchis... Ces mains portent la marque de tout ce que j'ai fait dans ma longue vie. Ce sont ces mêmes mains qui ont été témoins de mes états d'âme, de mes bonheurs et de mes malheurs.. »

Pensive, je regardai ses mains et les miennes. Je ne les verrais jamais plus de la même façon ! C'est sûr, désormais, j'y ferai plus attention et j'observerai mieux celles des autres.

C'est tellement riche d'émotions, des mains !

Quand je me blesse les mains, quand elles sont sensibles ou quand je caresse le visage de mes enfants ou de mon conjoint, je pense à maman. Et je me dis que j'ai sûrement un peu d'elle, de sa force et de sa douceur dans mes mains... Et que c'est un beau cadeau qui s'offre de générations en générations... Je n'y avais jamais pensé !

Quand je rencontre quelqu'un, je fais en sorte que ma poignée de mains soit vraiment chaleureuse... à la fois douce et ferme... Une belle poignée de mains pour lui transmettre cette belle énergie de la Vie...

 

7 décembre 2011

Calendrier de l'Avent coup de coeur!

"J’aimerais te donner un calendrier, un calendrier de l’Avent dans lequel, caché derrière de petites fenêtres, il y aurait quelque chose dont chacun a besoin et que chacun connaît.

Derrière la première fenêtre,  il y aurait la compréhension,

Derrière la deuxième, la fantaisie,

Derrière la troisième, l’humour.

Derrière la quatrième, une portion d’euphorie.

Derrière la cinquième, tu trouveras l’espérance.

Derrière la sixième, beaucoup de temps,

Lorsque tu ouvriras la septième fenêtre, tu trouveras la sécurité.

La huitième t’apportera la joie.

La neuvième te donnera la confiance.

Derrière la dixième, tu trouveras force et énergie.

Derrière la onzième, le bonheur.

Derrière la douzième, il y aura la lumière.

Derrière la treizième, tu trouveras la foi.

Derrière la quatorzième, l’humanité

Derrière la quinzième, la consolation.

Derrière la seizième, tu trouveras la Paix.

Derrière la dix-septième, la présence.

Derrière la dix-huitième, de belles pensées,

Derrière la dix-neuvième, tu trouveras le respect de toute créature.

Derrière la vingtième, tu trouveras du soutien.

Maintenant, il ne reste plus que quatre fenêtres à ouvrir

Derrière la vingt-et-unième, tu trouveras l’amitié.

Derrière la vingt-deuxième, la tolérance.

Derrière la vingt-troisième, la paix intérieure.

A la vingt-quatrième, tu verras Noël dans tout son éclat.

Mais derrière cette fenêtre, durant la Sainte Nuit,il n’y aura ni trésor, ni richesse.

Il y aura l’Amour, chose la plus importante dans notre vie."

Bonne période de l'Avent à tous!

10 août 2011

Une jolie histoire...

J'étais à l'épicerie du coin en train d'acheter des pommes de terre nouvelles. J'ai remarqué un petit garçon, d'ossature délicate, pauvrement vêtu, mais propre, regardant avec envie un panier de fèves vertes fraîchement cueillies.
 
J'avais déjà payé pour mes pommes de terre, mais je me suis arrêté aux fèves vertes. J'adore la soupe aux fèves et aux patates. Choisissant des fèves, je ne pus m'empêcher d'entendre la conversation entre Monsieur Miller (le propriétaire du magasin) et le pauvre garçon qui était à côté de moi.
 
« Bonjour Barry, comment vas-tu aujourd'hui? »

« Bonjour Monsieur Miller, ça va bien merci. J’étais juste en train d'admirer vos fèves. Elles ont l'air vraiment très bonnes. »

« Elles sont bonnes Barry ! Comment va ta mère ? »
 
« Bien. Elle n'arrête pas de mieux se porter. »
 
« Bien. Puis-je faire quelque chose pour toi? »
 
« Non Monsieur, je ne faisais qu'admirer ces fèves. »

« Voudrais-tu en rapporter à la maison? » demanda Monsieur Miller.

« Non Monsieur, je n'ai rien pour les payer. 
» 

« Et bien, que pourrais-tu me donner en échange de quelques fèves? »

« Tout ce que j'ai, c'est ma précieuse bille que voici. »

« C'est une vraie? Laisse-moi la voir. » Dis Monsieur Miller
. 

« Voici, elle est de qualité. »
 
« Oui, je peux voir ça. Humm, la seule chose c'est qu'elle est bleue et j'en recherche une rouge vif. En as-tu une rouge comme ça chez toi? »
 
« Pas rouge vif, mais presque... »
 
« Tu sais quoi ? Ramène ce sac de fèves avec toi à la maison et quand tu repasseras dans le coin, tu me montreras cette bille rouge » lui dit Monsieur Miller.

« Bien sûr Monsieur Miller. Merci. »
 
Madame Miller, qui était debout juste à côté, est venue pour m'aider... Avec un sourire, elle a dit : « Il y a 2 autres garçons comme lui dans notre quartier, les trois sont dans des conditions vraiment précaires. Jim adore marchander avec eux pour des fèves, des pommes, des tomates ou n'importe quoi d'autre. Lorsqu'ils reviennent avec leurs billes rouges, et ils le font toujours, Jim décide que finalement il ne veut plus de rouge et les renvoie chez eux avec un sac d'une autre marchandise en échange d'une bille verte ou une orange, lorsqu'ils reviendront au magasin. »
 
J'ai quitté le magasin avec un sourire au cœur, impressionné par cet homme. Peu de temps après j’ai déménagé et je me suis installé au Colorado, mais je n'ai jamais oublié l'histoire de cet homme, des garçons et leurs marchandages de billes.
 
Plusieurs années passèrent, chacune plus rapidement que les précédentes. Récemment j'ai eu l'occasion de visiter de vieux amis dans ce quartier de l'Idaho et pendant que j'y étais, ce Monsieur Miller est décédé.
 
Il y avait les funérailles ce soir-là et sachant que mes amis désiraient s'y rendre, je les ai accompagnés. À notre arrivée au salon, nous étions dans une ligne pour rencontrer les personnes éprouvées et leur offrir nos sympathies.
 
Devant nous dans la ligne il y avait trois jeunes hommes. L'un d'eux était en uniforme de l’armée et les deux autres hommes étaient bien coiffés, en habits noirs et chemises blanches... Tous paraissant vraiment bien. Ils s'approchèrent de Madame Miller, qui était debout calme et souriante à côté du cercueil de son mari. Chacun des trois jeunes hommes lui fit une caresse, l'embrassa sur la joue, lui parla brièvement et s'approcha du cercueil.
 
Ses yeux bleus clairs rougis les suivirent et, un par un, chacun des jeunes hommes s'arrêta brièvement et mis sa main tout au-dessus de la main pâle et froide dans le cercueil. Chacun d'eux sortit maladroitement du salon, en essuyant ses yeux.

C'était notre tour de rencontrer Madame Miller. Je lui ai dit qui j'étais et lui rappelai l'histoire d'il y avait longtemps et ce qu'elle m'avait raconté concernant les marchandages de billes. Avec ses yeux brillants, elle prit ma main et me conduisit au cercueil.
 
« Ces trois jeunes hommes qui viennent juste de partir étaient les garçons dont je vous parlais. Ils viennent tout juste de me dire combien ils avaient apprécié la façon dont Jim les "marchandait". Maintenant, finalement, puisque Jim ne pouvait plus changer d'avis concernant la couleur ou la grosseur de la bille... ils sont venus payer leur dette. »
 
« Nous n'avons jamais eu l'occasion de faire fortune dans ce monde " me confia t'elle, mais actuellement, Jim se serait considéré comme l'homme le plus riche de l'Idaho.» Avec tendresse, elle leva les doigts de son mari décédé. En-dessous de sa main se trouvaient trois billes d'un rouge éclatant.

La morale : on ne se souviendra pas de nous par nos paroles, mais par nos bonnes actions... La vie ne se mesure pas par le nombre de respirations que nous prenons, mais par les moments qui font que l'on retient notre respiration..
.
 
Aujourd'hui je vous souhaite une journée remplie de ces petits bonheurs : du café frais que vous n'avez pas préparé vous-même... Un coup de téléphone d'un vieil ami... Des feux verts sur votre chemin pour vous rendre au travail... La ligne la plus rapide à l'épicerie... Une bonne chanson à la radio... Vos clés retrouvées à la même place que vous les aviez laissées
. 

CE N'EST PAS CE QUE TU RÉCOLTES, MAIS CE QUE TU SÈMES QUI DIT QUEL GENRE DE VIE TU AS VÉCUE !

22 février 2011

Un défaut dans la femme...

Quand Dieu créa la femme, il en était déjà à son sixième jour de travail...

Un ange apparut et lui demanda : " Pourquoi y mets-tu autant de temps ? "

Et le Seigneur répondit : " Tu as vu mon projet pour Elle ?  Elle doit être:
- complètement lavable, sans être en plastique,
- avoir plus de 200 parties amovibles remplaçables,
- pouvoir fonctionner avec un régime quelconque,
- avoir un giron qui puisse accueillir quatre enfants en même temps,
- avoir un baiser qui puisse soigner aussi bien un genou écorché qu’un cœur brisé.
Et elle fera le tout avec seulement deux mains.  "

L’ange s’émerveilla des qualités : " Seulement deux mains ? Impossible ! Et c’est seulement le modèle de base ? C’est trop de travail pour un jour…  Attends demain pour la terminer. "

Le Seigneur protesta :  " Je ne le ferai pas. Je suis si près de terminer cette création que j’y mets tout mon cœur. Elle se soigne toute seule quand elle est malade et elle peut travailler 18 heures par jour. "

L’ange se rapprocha davantage et toucha la femme.  " Cependant tu l’as faite si délicate, Seigneur ! "

" Elle est délicate, " répondit Dieu, " mais je l’ai faite robuste aussi. Tu n’as pas idée de ce qu’elle est capable de supporter ou d’obtenir. "

L’ange demanda : " Est-ce qu’elle sera capable de penser? "

Dieu répondit : " Non seulement elle sera capable de penser mais aussi de discuter et d’exécuter. "

L’ange remarqua alors quelque chose et en allongeant la main il toucha la joue de la femme : " Seigneur, il semble que ce modèle ait une fuite. "

" Je t’avais dit que je cherchais à mettre en elle beaucoup de choses. Il n’y a aucune fuite... C’est une larme, "  corrigea le Seigneur.

" À quoi servent les larmes ? " demanda l’ange.

Et Dieu dit : " Les larmes sont sa manière d’exprimer sa joie, sa peine, sa désillusion, son amour, sa solitude, sa souffrance et son orgueil. "

Ceci impressionna beaucoup l’ange : " Tu es un génie, Seigneur. Tu as pensé à tout. La femme est vraiment merveilleuse !”

Hé oui ! Les femmes ont des énergies qui étonnent les hommes. Elles affrontent les difficultés, règlent les problèmes graves, cependant elles ont bonheur, amour et joie. Elles sourient quand  elles voudraient crier, elles chantent quand elle voudraient pleurer, elles pleurent quand elles sont heureuses et elles rient quand elles sont nerveuses.  Elles luttent pour ce en quoi elles croient.  Elles se rebellent contre l’injustice. Elles n’acceptent pas un "non" pour réponse quand elles croient qu’il y a une meilleure solution. Elles se privent pour maintenir la famille debout. Elles vont chez le médecin avec une amie craintive. Elles aiment inconditionnellement. Elles pleurent quand leurs enfants ont du succès et elles se réjouissent pour les chances de leurs amis. Elles sont heureuses quand elles entendent parler d’un baptême ou d’un mariage. Leur cœur se brise quand une amie meurt. Elles souffrent pour la perte d’une personne chère.  Sans doute elles sont fortes quand elles pensent ne plus avoir d’énergie. Elles savent qu’un baiser et une embrassade peuvent aider à soigner un cœur brisé.

Il y n’a pas doutes, dans la femme, il y a un défaut:

C’est qu’elle oublie
combien elle vaut.

Publicité
Publicité
14 février 2011

Une petite pause amour...

C'est quoi AIMER?

 

AIMER...
ce n'est pas de grandes déclarations!

AIMER,...
c'est de toutes petites choses simples, sans aucune justification!

AIMER...
c'est dire: "Veux-tu un café?", "Es-tu fatigué(e)?", "Je peux faire quelque chose pour toi?"

AIMER...
c'est un coup de téléphone, une douce pensée, une lettre, une petite surprise, une charmante invitation!

AIMER...
c'est prendre quelques minutes de son temps pour l'autre, même si, parfois, on n'a pas toujours le temps!

AIMER...
c'est accomplir, spontanément, des choses pour l'autre et ce, sans arrière pensée, sans raison aucune!

AIMER...
c'est ne pas juger, ne pas critiquer, ne pas condamner!

AIMER...
c'est être capable de dire: "A ta place, je n'aurais pas fait mieux."!

AIMER...
c'est pouvoir dire, sans envie: "C'est beau ce que tu as réussi."!

AIMER...
c'est accueillir l'autre tel qu'il est, l'écouter avec son coeur, ne pas le brusquer!

AIMER...
c'est regarder l'autre avec les yeux du coeur et les yeux de l'âme.  La parole peut mentir mais le regard, lui, jamais il ne ment!

AIMER...
c'est être là, non seulement avec son corps mais aussi avec son âme!

AIMER...
c'est dire "Je t'aime" à un conjoint, à un ami, à un frère, à une soeur.
Pourquoi faut-il toujours attendre la mort de quelqu'un pour lui dire à quel point on l'aimait?

AIMER...
c'est si doux, si facile!

AIMER...
ce n'est pas compliqué.  Mais si l'amour ne nous habite pas, il nous manque l'essentiel dans la vie.
Lorsque quelqu'un a le privilège d'aimer et d'être aimé, la vie est extraordinaire!
Cette chaleur qui rayonne, cette lumière qui illumine l'âme, le coeur et les yeux s'appelle...

l'amour!

 

Une merveilleuse journée... remplie d'amour!

8 novembre 2010

Le billet de 50€

Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 50 €. Il demande aux gens : "Qui aimerait avoir ce billet ?"

Les mains commencent à se lever.

Alors il dit : "  je vais donner ce billet de 50 € à quelqu'un de vous, mais avant, laissez-moi d'abord faire quelque chose avec."

Il chiffonne alors le billet avec force et il demande : " Est-ce que vous voulez toujours de ce billet ? "

Les mains continuent à se lever.

"Bon d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela ? "  Il jette le billet froissé par terre et saute à pieds joints dessus, l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher.  Ensuite, il demande "  Qui veut encore de ce billet? "

Evidemment les mains continuent de se lever !

"  Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon...Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n‘a pas changé. Il vaut toujours 50€.   Plusieurs fois  dans votre vie vous serez froissés, rejetés, souillés par les gens ou par les évènements.  Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien, mais en réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment ! La valeur d'une personne ne tient pas à ce qu'elle fait ou ne fait pas. Vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque demeure toujours intacte."

A méditer...

7 novembre 2010

L'âne du fond du puits

Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puis.  L'animal gémissait pitoyablement depuis des heures et le fermier se demandait quoi faire.  Finalement, il décida que l'animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon.  Ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne...

Il invita tous les voisins à venir l'aider.  Ils saisirent tous une pelle et commencèrent à enterrer l'âne dans le puits.

Au début, l'âne se mit à crier terriblement.  Puis, à la stupéfaction de tous, il se tût.

Quelques pelletées plus tard, le fermier regarda finalement dans le fond du puits et fût étonné de ce qu'il vit.  Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l'âne faisait quelque chose de stupéfiant: il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.  Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l'animal, il se secouait et montait dessus.

Bientôt, chacun fût stupéfié de voir l'âne hors du puits se mettre à trotter.

MORALITE:

La vie va essayer de t'engloutir sous toutes sortes d'ordures.  Le truc pour se sortir du trou, c'est de se secouer pour avancer.  Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser.  Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais.  Il ne faut jamais abandonner!

Secoue-toi et fonce!

Rappelle-toi les 5 règles simples à ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres, pour être heureux/se:

1) Libère ton coeur de la haine.

2) Libère ton esprit des inquiétudes.

3) Vis simplement.

4) Donne plus.

5) Attends moins.

10 octobre 2010

Lettre ouverte...

... à tous les parents méchants
Par un Neuropsychologue

Un jour, quand mes enfants seront assez vieux pour comprendre la logique qui motive un parent, je vais leur dire comme mes parents méchants m'ont dit:

Je t'ai aimé assez pour te demander où tu allais, avec qui et quand tu serais de retour à la maison...

Je t'ai aimé assez pour être patiente jusqu'à ce que tu découvres que ta nouvelle meilleure amie ou ton grand copain n'était pas fréquentable...

Je t'ai aimé assez pour me tenir plantée là, dans le cadre de porte pendant deux heures, tandis que tu nettoyais ta chambre.  Une affaire de 15 minutes, en principe!

Je t'ai aimé assez pour te laisser voir la colère, la déception et les larmes dans mes yeux.  Les enfants doivent apprendre que leurs parents ne sont pas parfaits.

Je t'ai aimé assez pour te laisser assumer la responsabilité de tes actions même lorsque les pénalités étaient si dures qu'elles ont presque brisé mon coeur.

Mais surtout,

Je t'ai aimé assez pour dire NON même quand je savais que tu me détesterais pour ça.

Telles étaient les batailles les plus difficiles de toutes.  Je suis heureuse de les avoir gagnées parce qu'à la fin, tu y as gagné aussi.  Et un jour, quand tes enfants seront assez vieux pour comprendre la logique qui motive des parents "méchants", tu leur diras:

Vos parents étaient-ils méchants?

Les miens l'étaient.

J'ai eu les parents les plus méchants du monde entier!

Pendant que d'autres enfants mangeaient des sucreries pour les repas, j'ai dû manger des céréales, des oeufs et des légumes.  Quand d'autres ont eu du coca et des hamburgers pour le dîner, j'ai dû manger de la viande, du fromage, des crudités et des fruits...  Sans oublier toutes ces crêpes et gâteaux que ma maman nous a faits...  Et vous pouvez deviner que ma mère m'a fait des dînes qui étaient différents de celui des autres enfants.

Mes parents ont insisté pour savoir où j'étais tout le temps.  On aurait pu croire que j'étais enfermée dans une prison.  Ils devaient savoir qui mes amis étaient et ce que je faisais avec eux.  Ils insistaient si je disais que je serais partie pour une heure pour que ce soit seulement une heure ou moins.

J'avais honte de l'admettre mais mes parents ont enfreint la loi sur la protection des enfants concernant le travail en me faisant travailler.  J'ai dû faire la vaisselle, mon lit (quelle horreur!), apprendre à faire la cuisine, passer l'aspirateur, faire mon lavage, vider les poubelles et toutes sortes d'autres travaux cruels...  Je pense qu'ils se réveillaient la nuit pour imaginer de nouvelles tâches à me faire faire...

Ils ont toujours insisté pour que je dise la vérité, juste la vérité et rien que la vérité.  Au moment où je suis devenue adolescente, ils pouvaient lire dans mon esprit et avaient des yeux tout autour de la tête.

Puis la vie est devenue vraiment dure!

Mes parents ne laissaient pas mes amis juste klaxonner quand ils venaient me chercher.  Ils devaient venir à la porte pour qu'ils puissent les rencontrer.  Pendant que chacun pouvait fréquenter un ou une petit(e) ami(e) quand ils avaient 12 ou 13 ans, j'ai dû attendre d'en avoir 16.

A cause de mes parents, j'ai manqué beaucoup de choses que d'autres enfants ont expérimentées.  Je n'ai jamais été prise pour vol à l'étalage, vandalisme, alcoolisme, ni même arrêtée pour tout autre crime.  C'était "tout de leur faute".

Maitenant que j'ai quitté la maison, je suis instruite et une adulte honnête.  Je fais de mon mieux pour être un parent méchant comme mes parents l'étaient.

Je pense que c'est ce qui ne va pas avec le monde aujourd'hui: il n'y a pas assez de parents méchants!

Merci donc à tous les parents qui ont été assez méchants dans notre jeunesse pour nous apprendre à être de méchantes bonnes personnes.

Stéphanie Charjoj-Auchere

Neuropsychologue - Centre Hospitalier

55, rue Docteur Jean Michel

39000 Lons le Saunier

Passez ce texte à tous les parents méchants que vous connaissez (et leurs enfants!).

PS: Merci à cette méchante maman qui a pensé que je faisais moi aussi partie de cette catégorie de parents...  Elle se reconnaîtra!

13 septembre 2010

Un gros capital...

Imaginez que chaque jour, une banque vous ouvre un compte de 86 400 euros. Génial non?  Il y a, tout simplement, deux règles à respecter.

Première règle: tout ce que vous n'avez pas dépensé dans la journée vous est enlevé avant la prochaine journée.  Vous ne pouvez pas tricher, ne pouvez pas virer cet argent sur un autre compte, ne pouvez que le dépenser mais chaque jour, la banque vous ouvre un nouveau compte, avec à nouveau 86 400 Euros .

La vie n’est-elle pas belle?

Deuxième règle : La banque peut interrompre ce "jeu" sans préavis.

Dommage non?

A n'importe quel moment elle peut vous dire que c'est fini, qu'elle ferme le compte et qu'il n'y en aura pas d'autre. Aucun droit de recours en vue...

Que feriez-vous ?

Vous dépenseriez chaque euro à vous faire plaisir, et à offrir quantité de cadeaux aux gens que vous aimez, non?

Vous feriez en sorte d'utiliser chaque euro pour apporter du bonheur dans votre vie et dans celle de ceux qui vous entourent, n’est-ce pas ?

Cette banque magique, nous l'avons tous, c'est le temps!

Chaque jour nous sommes crédités de 86 400 secondes de vie et il n'y a pas de report pour le jour suivant.

Ce qui n'a pas été vécu dans la journée est perdu.

Eh oui, hier vient de passer...

Chaque jour, cette magie recommence. Nous jouons avec cette règle incontournable: la banque peut fermer notre compte à n'importe quel moment, sans aucun préavis.  A tout moment, la vie peut s'arrêter. Alors que faisons-nous de nos 86 400 secondes quotidiennes?

La vie est trop courte, même pour ceux qui passent leur temps à la trouver trop longue… Pourquoi la gaspiller?

Alors profitons-en, tout simplement, en utilisant nos 86 400 secondes quotidiennes au mieux !

Une dernière pensée: aujourd’hui est le premier jour du reste de notre vie...

Je vous souhaite de bien profiter de toutes les secondes à venir.

Publicité
Publicité
<< < 10 11 12 13 14 15 16 17 > >>
Publicité